dimanche 8 novembre 2015

Les dangers des vaccins : la cupidité et l’avidité sans limites d’une industrie lucrative.






De nos jours plusieurs études scientifiques mettent en lumière les dangers des vaccins. Par exemple, le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix aurait causé des maladies chroniques incurables telles que la narcolepsie à des enfants qui sont vulnérables aux substances souvent toxiques qui attaquent leurs fonctions nerveuses et immunitaires, la maladie de Guillaume – Barré (Paralysie). Un cri d’alarme a retenti lorsqu’on a établi le décompte de personnes atteintes de maladies graves suite à leur vaccination contre le cancer cervical et le papillomavirus. Ce vaccin a touché plus de 29000 personnes avec pas moins de 130 décès. Quant au vaccin contre l’hépatite B, lui aussi, est largement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu’il est normalement supposé protéger contre une maladie du foie. Un employé de la ville de Paris souffre de la myofasciite à macrophages, une maladie invalidante, depuis 1996 et le Conseil d’Etat français a reconnu la présence de l’aluminium dans le vaccin de l’hépatite B ce qui a permis à cette personne d’être indemnisée.


En effet, les vaccins contiennent des substances à faibles doses de formaldéhyde qui est cancérigène, du mercure qui est neurotoxique, de l’aluminium qui est neurotoxique (cause d’Alzheimer et du cancer du sein), etc…


La vaccination n’est–elle pas un geste de prévention qui est censée nous permettre d’éviter les maladies infectieuses graves ? Bien qu’elle ait fait ses preuves pour divers vaccins en éradiquant des épidémies, elle semble être aujourd’hui très critiquée car souvent manipulée et l’OMS le revendique.

Selon des études, plusieurs maladies seraient liées aux conditions de vie qui se dégradent et vice versa, quand les conditions de vie s’améliorent les maladies disparaissent. En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie a été imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15 000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la Guerre ; ce qui explique que même si les sujets sont vaccinés le vaccin sera caduc puisque les conditions de vies régressent en temps de guerre. Pendant la Première Guerre Mondiale, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an en Allemagne. En 1939, Les Nazis imposèrent le vaccin obligatoire, en 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Avec une augmentation frappante durant la seconde Guerre Mondiale, mais après la Guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu’à 800 annuellement en 1972 (une baisse de 99,2 %). Malheureusement les médecins nieront souvent le lien d’un vaccin avec celui d’un accident médical survenu après une vaccination !


On administre chaque année des milliards de vaccins et les multinationales pharmaceutiques s’enrichissent.


Un conseil : éviter les vaccins qui ne sont pas obligatoires en attendant que les pouvoirs publics soient capables de mieux nous informer sur les vaccins et leurs effets.

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